Il faudra aussi accroître les moyens de cette branche, tout particulièrement renforcer le nombre de professionnels et l’attractivité des métiers du grand âge.
C’est une succession de petites décisions, de mesures, de contrôles, qui finalement ne résolvent pas les difficultés que la crise sanitaire a rendues encore plus criantes.
Les dispositifs actuels s’avèrent insuffisants et inadaptés ; on note tout particulièrement le manque criant de solutions intermédiaires et novatrices tenant compte de l’évolution des attentes des personnes.
La médicalisation des structures, au détriment parfois de l’accès aux soins de proximité, ne saurait être la seule réponse.
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